Invité
Annyeong ! my name is Invité | Sujet: 可爱张小欢 ~ xiao yue pour vous servir ! Mar 12 Juil - 17:46 | |
| ZHANG Xiao Yue
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IDENTITY CARDPrêt, pas prêt, j'arrive !nom & prénom ; ZHANG Xiao Yue date de naissance & âge ; Née le quatorze février il y a dix-huit ans nationalité ; Taïwanese, ROC race ; Humaine orientation ; Hétérosexuelle dortoir & année ; Dortoir A, deuxième année métier ; aucun groupe ; Dortoir A poste vacant ; non célébrité ; Genie Zhuo |
ONCE UPON A TIMEThere was a pretty boy/girl...Je suis née un certain "il était une fois" sur une île très très lointaine que - humains que nous hommes - nous appelons si familièrement Taiwan. Je pourrais simplement résumer ma vie en je suis née, j'ai vécu, et je suis pas mourrue, enfin, morte vous m'aurez bien compris, mais apparemment cela ne suffit pas aux yeux de certaines personnes, alors je me suis levée un jour en me disant que je pourrais peut-être bien approfondir la chose. Bon, entre vous et moi, il n'y a pas grand chose à raconter, je n'ai pas eu la vie palpitante d'Indiana Jones, et puis, un fait qui ne joue pas en ma faveur, c'est que j'ai dix-huit ans et considère ne rien avoir vécu. C'est ainsi, qu'y puis-je ? Voici donc ma petite histoire que je vous invite à suivre.
Je suis donc née il y a dix-huit ans à Taipei, qui se trouve sur l'île de Taiwan. Je naquis dans une famille relativement riche, pour ne pas dire très riche. Autant dire que je n'ai jamais manqué de rien. Ma mère était coréenne, et était physicienne, tandis que mon père était un célèbre avocat pour les droit de l'homme qui en plus de cela avait hérité de la fortune familiale une fois que mon grand-père décéda, deux ans avant ma naissance, d'un infarctus. Je vis donc le jour dans un petit manoir à l'écart de la ville - pourquoi aller à l'hôpital quand on sait faire venir les médecins ? - entourée de parents aimants et d'une horde de domestiques. Ce qu'ils ignoraient alors, c'est qu'ils avaient donné vie à une petite fille pas tout à fait comme les autres, ils m'avaient donnés la vie. Bon, s'ils l'ignoraient, c'était simplement parce qu'un bébé, c'est jamais qu'un bébé, ça pleure, ça mange, ça les fait toutes, mais un an suffit pour qu'ils se rendirent compte qu'il y avait avec moi un truc de pas tout à fait normal.
À huit mois, je dis mon premier mot, "papa" histoire de faire dans l'original. Enfin, ma précocité récupère le fait que je n'avais pas pu trouver mieux, mais plus incroyable encore, c'est qu'à un an, je parlais. Enfin, si l'on peut appeler ça parler, ma mère s'efforçant à dire que c'était surtout casser les pieds que je faisais "moi veut manger" "maman, dois pipi" bref, des phrases du genre qui n'ont pour unique but que de faire devenir mes parent complètement cinglés. Et dire que les bébés sont censés vous foutre la paix jusqu'à trois ans, ils avaient pariés sur le mauvais cheval ! En même temps, il fallait toujours que je fasse le contraire de ce que je devais faire "Ne va pas à la cuisine" et voilà que l'on me retrouvait dans le frigo, "ne cours pas à pieds nus" et je me retrouvais les chaussettes en mains, en bref, j'avais le chic pour énerver mon monde. Mais apparemment, ils trouvaient ça mignon les adultes, et puis quand on allait au jardin d'enfants mes parents aimaient se vanter auprès des autres "nous notre fille à dit son premier mot à huit mois". Bon, généralement, on les prenait juste pour des frimeurs, mais lorsqu'à trois ans je lisais des histoires aux enfants de mon âge, je vous laisse imaginer leur tête !
À cinq, mes parents prirent le risque de se faire désillusionner en me faisant passer un test de QI, telle ne fut pas leur surprise en apprenant que j'avais un total de 152, soit 8 en moins qu'Einstein. Peut-être aurait-il préféré de me voir au niveau de Goethe et son 210, mais par rapport au 110 de moyenne, c'était franchement pas mal comme score, et ils le savaient. À partir de cet instant, ils ne m'ont plus jamais laissés tranquille... Encyclopédies sur encyclopédies, chaque jour une page du dictionnaire, problèmes mathématiques compliqués, et voilà que je passai mon enfance à jouer à la surdouée plutôt qu'à apprendre à rouler sur deux roues avec mon vélo rose, chose ô combien plus importante à mes yeux. Bien sûr, ils faisaient ça pour mon bien, j'avais du potentiel, il fallait l'exploiter. Ils me voyaient médecin, ils me voyaient secrétaire général de l'ONU, ils me voyaient ambassadrice de Chine aux États-Unis, ils me voyait présidente de la République - alors qu'on est en Chine, à ce moment leur QI à eux ne devait plus dépasser 90... - bref, ils faisaient nombre de projets pour moi tandis que je regardais inlassablement les enfants jouer dehors, sans se soucier de l'université, chose normal du haut de leurs sept ans.
C'est donc comme ça que j'ai grandi, perle de la famille Zhang, mais aussi en rêvant d'amitié et de jeux plus amusants que les suites logiques qu'il m'était demandé de réaliser. Arriva alors mon dixième anniversaire, et tandis que je priais pour trouver dans cet emballage rouge à ourson la nouvelle Barbie Lac des Cygnes, je n'y trouvais qu'un énième livre "Les inventeurs et leurs inventions". S'en était assez pour moi, après un merci bredouillé de manière à ce que ce soit à peine audible, je m'enfuis dans ma chambre en boudant. Je n'étais pas un génie après tout ! Enfin, si, en quelque sorte, mais j'étais avant tout une enfant. Aussi pris-je alors une décision radicale, moi qui m'était considérablement assagie par rapport à la diablesse que j'étais à trois ans, je refusai de continuer sur cette voie : à peine mes parents avaient-ils le dos tourné que je filais jouer avec les enfants du quartier. Au début, ce ne fut pas de tout repos contrairement à ce que je pensais. Le loup, je savais que c'était un mammifère carnivore et opportuniste qui vivait à l'ombre des forêts, mais je n'avais lu nul part que c'était un jeu particulièrement amusant. Ainsi donc, rapidement je fus étiquetée "la débile" par mes nouveaux camarades, plutôt amusant non ? Je savais tant de chose, mes parents étaient si fières de moi, j'avais avec les adultes des discussions intelligentes, philosophiques même, mais aux yeux des autres enfants, je n'étais qu'une attardée mentale. Alors, pour sauver la face, je leur mentis, je leur dis que je venais du continent, d'un village dans le Gansu, et que là-bas, on ne jouait par à leurs jeux. C'était facile de leur mentir, ils ne connaissaient rien. Je leur parlai des paysages magnifiques de ma nouvelle région natale, des légendes qu'on y racontait, je leur contais des aventures que j'étais censée y avoir vécut, et ils buvaient mes paroles comme du petit lait. Mentir était une mauvaise chose, on me l'avait toujours enseignée, mais lorsque je parlais, des étoiles s'animaient dans les yeux de mes nouveaux amis, alors je me disais que ce n'était pas si mal que ça.
Les années passèrent, je m'étais parfaitement intégrée, j'étais appréciée. Les calculs qu'on me donnaient à faire à la maison, je n'y jetais qu'un coup d’œil distrait, les résolvais en claquant des doigts, puis filais comme une voleuse. Je sortais, je buvais même, je m'amusais, et je jurai que jamais plus je ne passerais plus de temps à étudier plutôt qu'à rire. Après tout, à l'école j'étais la première de classe et ce sans étudier, alors pourquoi me priver du plaisir que me procurait l'adolescence. Cela marchait un temps, jusque mes quinze ans où je fis un léger coma éthylique, rien de bien grave, mais assez pour que mes parents mirent halte là. Il décidèrent dès lors de m'envoyer dans la famille de ma mère, en Corée. Je ne parlais malheureusement pas coréen, je connaissais plein de choses inutiles, mais je ne savais que parler le mandarin, le cantonais et l'anglais, je ne comprenait rien de cette langue étrange qu'était le coréen. Pourtant, en deux mois, il me fallut apprendre les bases avant de finir mes années de collège à Séoul. Je n'étais plus première de classe, pour la simple et bonne raison que je ne comprenais pas ce qui m'était demandé. Heureusement pour moi, les gens de ma classe étaient plutôt sympathiques et m'aidèrent énormément, en un an, je parlais - presque - parfaitement le coréen, disons qu'il ne me restait que l'accent à retravailler. Ma tante et mon oncle me jugèrent donc apte à intégrer la Haengbok Academy. La première année, je dû me contenter du dortoir C, à cause de l'épreuve en coréen sans doute, mais je ne fis pas vraiment d'efforts pour m'améliorer. J'étais loin de chez moi et ce contre ma volonté, entourée de fils à papa et d'intello, rien ne me donnait envie de me démener, pourtant au cours de l'année, je m'améliorais, c'était tout simplement naturel pour moi. Ainsi, je me retrouvai en deuxième année dans le dortoir A, presque à ma plus grande surprise. Je me fis pourtant taper sur les doigts, soi-disant parce que j'aurais pu intégrer la Spécial A, mais entre vous et moi, je suis bien contente d'y avoir échappé ! Non seulement, j'avais aucune envie d'être vue comme une des "têtes" de l'école, et puis, le jaune, ça n'a jamais été ma couleur préférée ! |
I AM WHAT I AMEt t'as rien à en redire !Il paraitrait que je suis plutôt difficile à cerner, personnellement pourtant, je ne me suis jamais trouvée fort compliquée à comprendre, en deux mots, je suis le genre de filles qui ne se prend pas la tête. Après tout, c'est vrai, pourquoi faire compliqué lorsqu'on peut faire simple ? Voilà, c'est tout moi ça. C'est la raison pour laquelle je n'écoute mon instinct, que mon instinct. Certaines personnes me trouvent insensées, et pour ma part, je trouve ces dernières idiotes. Il est vrai que j'ai détruit les ambitions que mes parents avaient pour moi, mais qu'y-a-t-il de mal à vouloir être romancière ? Mannequin ? Chanteuse ? Actrice ? Ce que je veux faire de ma vie, c'est susciter le rêve chez les gens. J'aime voir des étoiles dans leurs yeux, j'aime me dire que je leur procure un peu de bonheur à ma manière. Bon, pour mannequin par contre, il semblerait que c'est mal barré, simplement parce que je ne sais pas modérer mon appétit... Après, avec tout le sport que je fais, je compense ! Cela ne m'empêche pas pour autant d'avoir un petit ventre, rien de bien extraordinaire à vrai dire, mais je ne le trouve pas si disgracieux que cela. Bien sûr, si je n'étais pas une véritable pile électrique, sans doute que j'aurais beaucoup plus de poids, mais comme je ne sais pas rester plus d'une minute sans bouger. Enfin, si, quand il le faut j'y parviens, mais dans mon temps libre il me faut absolument m'occuper sans quoi j'ai l'impression de devenir folle.
Un autre trait de ma personnalité est le fait que je suis relativement coquette, j'aime prendre soin de mon apparence. C'est la raison pour laquelle j'ai d'ailleurs teint mes cheveux en châtain, couleur que je trouve bien plus adéquate avec mon physique que ce noir qui colle à la peau des asiatiques. Et puis, en tant que fêtarde invétérée, il va de soi que je suis toujours sur mon trente-et-un, toujours prête à dire oui si l'on me propose quelqu'un rendez-vous. Et puis, si jamais je tombe sur un beau garçon, je ne supporterais pas qu'il me trouve négligée ! Oh, je ne suis pas séductrice, mais je ne suis pas forcément une petite fille modèle non plus, sans être une marie-couche-toi-là pour autant. Puis, qu'on le veuille ou non, l'apparence est une clé importante à avoir en main ! Sans cela, notre vie sociale s'en retrouve fortement réduite. Après, vous me direz, lorsque je suis saoule, cela n'a pas grand chose d'élégants, surtout que je ne tiens pas forcément bien l'alcool, mais chacun sa faiblesse, un verre de vodka dans le nez n'a jamais fait de mal à personne, puis je n'ai aucune nécessité à en boire, alors pourquoi m'en priver ?
Enfin, si je suis quelqu'un qui est – parait-il – plutôt intelligente, je n'ai pas vraiment tendance à en tirer profit. Oh, en cours bien sûr, je suis une bonne élève, mais en dehors, j'ai tendance à foncer dans le temps plutôt que de prendre le temps de réfléchir à ce que je fais. Je parle trop vite, j'agis trop vite, mais en tout les cas j'assume toujours mes actes. Et puis, comme je l'ai dit plus haut, je ne me prend pas la tête. Si je fais une quelconque boulette, je ne vois pas pourquoi je devrais m'en cacher, ou bien même me justifier. Ce qui est fait, est fait. Je ne reviens jamais sur mes actes, à quoi bon de toute façon ? J'ai décidé de toujours faire ce que je veux, de façon à ne jamais avoir de regrets. Après tout, ne vaut-il pas mieux avoir des remords plutôt que des regrets ? |
BEHIND THE MASKLaisses moi te dire qui je suis...Pseudo niichan Âge (facultatif) ; seize ans Comment avez vous connu "fairy tales vs nightmare" ; partenariat ♥ Comment trouvez vous le forum ; fuuun *0* Disponibilité au rp ; 7/7j Quelque chose d'autre a dire ? ; Chibum chibum !
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Dernière édition par Zhang Xiao Yue le Mer 13 Juil - 21:05, édité 6 fois |
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